« En cas de doute, mets du beurre » vient de mon ami Mitch. Une expression qui m’est restée et qui veut surtout dire que, quand tu cuisines et que tu n’es pas sûr de ce que tu fais, mets une noix de beurre : que ce soit pour donner de l’onctuosité à un potage ou à vos purées, rendre votre viande un peu plus juteuse en l’arrosant durant la cuisson ou simplement pour lier un plat de pâtes ou une sauce à la fin avant de servir.

Il fut un temps où on était une dizaine de personnes à se regrouper les soirs de match de hockey, tout le monde autour de l’îlot de cuisine à prendre un verre et moi à cuisiner juste pour le plaisir.

Un de mes plats cuisinés de groupe préférés, c’est le poulet rôti. L’objectif de cuisiner pour un groupe, c’est le moins de vaisselle possible. Tout le repas préparé dans le même plat idéalement. Quand c’est prêt, on passe du four à la table.

« En cas de doute, mets du beurre » vient spécialement de la fois où j’ai fait un poulet rôti. Mitch n’en revenait pas ! Presque une livre de beurre complète!

Voici la recette en deux paragraphes :

On met de grosses tranches de beurre partout sous la peau du poulet entier et on remplit le corps d’aromates comme du thym frais, une tête d’ail entière coupée en deux et des tranches de citron. Sel et poivre partout.

Tapissez le fond d’un plat allant au four de petites pommes de terre qui vont cuire dans le beurre et le jus cuisson que le poulet laissera au fond du plat. En guise de légumes d’accompagnement, on prend un gros chou frisé coupé en gros quartier et enrobez les quartiers de chou de bacon parce que, dans la vie, il y a aussi le bacon.

Le gras du bacon, en plus du beurre qui va fondre tranquillement, va rendre les pommes de terre goûteuses et le chou moelleux. Arrosez le poulet à tour de rôle entre deux gorgées de vin et c’est prêt quand le bacon autour du chou est bien cuit et croustillant et que la cuisse du poulet se détache toute seule.

À combien le four ? Ça, ce n’est pas compliqué! 350°F, on ne se trompe pas, ni trop chaud ni trop froid. C’est ce que 350°F veut dire. Pour confire ou pour braiser, 300°F et moins. Pour rôtir ou pour gratiner, 375°F et plus.

Ma gang de hockey du jeudi soir en parle encore, Mitch plus particulièrement. Je n’ai pas eu le choix de lui en faire un pour sa fête, tellement c’est bon et surtout très simple.

Le beurre, ce n’est pas juste pour les rôties, pas nécessaire d’avoir peur. Faites-vous confiance en cuisine, laissez-vous aller et osez!

On a longtemps classé le beurre dans la catégorie des mauvais gras saturés. La tendance semble vouloir changer, informez-vous à ce sujet, vous serez surpris. Tout est une question d’équilibre!

« En cas de doute, mets du beurre » vient de mon ami Mitch. Une expression qui m’est restée et qui veut surtout dire que, quand tu cuisines et que tu n’es pas sûr de ce que tu fais, mets une noix de beurre : que ce soit pour donner de l’onctuosité à un potage ou à vos purées, rendre votre viande un peu plus juteuse en l’arrosant durant la cuisson ou simplement pour lier un plat de pâtes ou une sauce à la fin avant de servir.

Il fut un temps où on était une dizaine de personnes à se regrouper les soirs de match de hockey, tout le monde autour de l’îlot de cuisine à prendre un verre et moi à cuisiner juste pour le plaisir.

Un de mes plats cuisinés de groupe préférés, c’est le poulet rôti. L’objectif de cuisiner pour un groupe, c’est le moins de vaisselle possible. Tout le repas préparé dans le même plat idéalement. Quand c’est prêt, on passe du four à la table.

« En cas de doute, mets du beurre » vient spécialement de la fois où j’ai fait un poulet rôti. Mitch n’en revenait pas ! Presque une livre de beurre complète!

Voici la recette en deux paragraphes :

On met de grosses tranches de beurre partout sous la peau du poulet entier et on remplit le corps d’aromates comme du thym frais, une tête d’ail entière coupée en deux et des tranches de citron. Sel et poivre partout.

Tapissez le fond d’un plat allant au four de petites pommes de terre qui vont cuire dans le beurre et le jus cuisson que le poulet laissera au fond du plat. En guise de légumes d’accompagnement, on prend un gros chou frisé coupé en gros quartier et enrobez les quartiers de chou de bacon parce que, dans la vie, il y a aussi le bacon.

Le gras du bacon, en plus du beurre qui va fondre tranquillement, va rendre les pommes de terre goûteuses et le chou moelleux. Arrosez le poulet à tour de rôle entre deux gorgées de vin et c’est prêt quand le bacon autour du chou est bien cuit et croustillant et que la cuisse du poulet se détache toute seule.

À combien le four ? Ça, ce n’est pas compliqué! 350°F, on ne se trompe pas, ni trop chaud ni trop froid. C’est ce que 350°F veut dire. Pour confire ou pour braiser, 300°F et moins. Pour rôtir ou pour gratiner, 375°F et plus.

Ma gang de hockey du jeudi soir en parle encore, Mitch plus particulièrement. Je n’ai pas eu le choix de lui en faire un pour sa fête, tellement c’est bon et surtout très simple.

Le beurre, ce n’est pas juste pour les rôties, pas nécessaire d’avoir peur. Faites-vous confiance en cuisine, laissez-vous aller et osez!

On a longtemps classé le beurre dans la catégorie des mauvais gras saturés. La tendance semble vouloir changer, informez-vous à ce sujet, vous serez surpris. Tout est une question d’équilibre!